Méduse, Nuée de méduses

Nuée de méduses
FP 6

Source : Bestiaire 2, p. 196
PX 2 400
Vermine (aquatique, nuée) de taille Min, N
Init +1 ; Sens vision dans le noir 18 m (12 c) ; Perception +0
Défense
CA 15, contact 15, pris au dépourvu 14 (Dex +1, taille +4)
pv 54 (12d8)
Réf +5, Vig +8, Vol +4
Immunités dégâts par armes, traits des nuées
Attaque
VD nage 6 m (4 c)
Corps à corps nuée (3d6 plus poison)
Espace 3 m (2 c) ; Allonge 0 m
Attaques spéciales distraction (DD 16)
Caractéristiques
For 1, Dex 13, Con 10, Int —, Sag 10, Cha 2
BBA +9, BMO —, DMD
Compétences Discrétion +29, Natation +9 ; Modificateurs raciaux +16 en Discrétion
Écologie
Environnement milieu aquatique
Organisation sociale solitaire, ou groupe (2-8)
Trésor aucun
Pouvoirs spéciaux
Poison (Ext). Nuée — blessure ; JS Vigueur DD 16 ; fréquence 1/round pendant 6 rounds ; effet affaiblissement temporaire 1d4 Dex ; guérison 2 réussites consécutives.

Cette vile nuée de méduses de la taille d’un poing forme une sorte de mur de tentacules urticaires quasi invisible dans l’eau.

Les méduses se regroupent souvent pendant le printemps ou dans certaines conditions environnementales, comme en cas d’accroissement de la température des océans. Dans ces circonstances, les méduses ne sont plus simplement gênantes mais bien dangereuses, même si ce changement est involontaire. En effet, à l’inverse des créatures agressives apparentées comme les méduses géantes, une nuée de méduses ne se compose pas de chasseurs actifs mais plutôt de créatures opportunistes. Les nuées de méduses se déplacent rarement pour attaquer les proies mais, à cause de leur coloration quasi translucide, il arrive très fréquemment que des créatures se retrouvent en leur sein sans même s’en rendre compte. Une fois qu’une nuée de méduses a blessé une créature, elle la poursuit pendant plusieurs rounds avant d’abandonner la chasse. De nombreuses races aquatiques utilisent les nuées de méduses comme gardiens. Comme ces nuées ne montrent aucune envie de se déplacer d’elles-mêmes, ceux qui les utilisent comptent sur le fait qu’elles resteront stationnaires pendant de très longues périodes.