Dragon impérial des forêts
Dragon impérial des forêts
Source : Bestiaire 3 p.98
Statistiques de base
FP 6 ; Taille P ; DV 7d12
VD 12 m (8 c), creusement 6 m (4 c), escalade 9 m (6 c)
Armure naturelle +6 ; Souffle cône, 2d6 perforants
For 15, Dex 14, Con 14, Int 10, Sag 11, Cha 10
Écologie
Environnement forêts
Organisation sociale solitaire
Trésor triple
Pouvoirs spéciaux
Changement de forme (Sur). Un dragon adulte des forêts, ou un dragon plus âgé, peut prendre n’importe quelle forme humanoïde trois fois par jour, comme s’il utilisait métamorphose.
Déplacement facilité (Ext). Il s’agit de la même capacité que celle du druide.
Écrasement destructeur (Sur). Lorsqu’un vieux dragon des forêts, ou un dragon plus âgé, entreprend un écrasement, l’impact fait voler les décombres sur une zone de 6 m (4 c) de rayon pendant 1d6 rounds. Ce champ de décombres obstrue la vision des créatures situées à l’intérieur de la zone mais leur fait bénéficier d’un camouflage. Le dragon des forêts voit normalement dans et à travers ce champ.
Imitation de sons (Ext). Un très jeune dragon des forêts, ou un dragon plus âgé, peut imiter toutes les voix ou tous les sons qu’il a entendus en réussissant un test de Bluff opposé au test de Psychologie de celui qui l’écoute.
Mort de pierre (Sur). Toute créature dont le nombre de points de vie est réduit à 0 ou moins par le souffle d’un grand dracosire de la forêt doit également réussir un jet de Vigueur (DD égal à celui du souffle du dragon des forêts) ou être pétrifiée comme si elle était sous l’effet d’un sort de pétrification. Il s’agit d’un effet de mort.
Souffle élémentaire (Sur). Une fois par jour, lorsqu’un vénérable dragon des forêts, ou un dragon plus âgé, utilise son souffle, il peut convoquer un élémentaire noble de la Terre dans son cône. Ces effets ont le même niveau de lanceur de sorts que le dragon.
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Les dragons des forêts, ou dilong, sont des créatures capricieuses et malveillantes vivant dans les bois épais et accidentés. Le dragon des forêts peut voler mais il préfère évoluer sur la terre ferme, ne volant que pour poursuivre les objets de sa fureur.
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