Bhole

Bhole
FP 17

Source : Bestiaire 4 page 21
  • 102 400 PX
  • Créature magique de taille C, CN
  • Init +3 ; Sens vision dans le noir 18 m, vision nocturne ; Perception +28
    Défense
  • CA 33, contact 1, pris au dépourvu 33 (Dex -1, naturelle +32, taille -8)
  • pv 290 (20d10+180)
  • Réf +13, Vig +21, Vol +11
  • RD 10/— ; Immunités acide, contrôle magique, étourdissement, feu, maladie, paralysie, poison, sommeil ; RM 28
    Attaque
  • VD 15 m, creusement 15 m
  • Corps à corps morsure, +29 (6d6+25/19-20 plus étreinte) et coup, +29 (3d8+25/19-20)
  • Espace 9 m ; Allonge 18 m
  • Attaque spéciale engloutissement (20d6 acide, CA 26, 29 pv), force écrasante, piétinement (DD 37), souffle
    Statistiques
  • For 44, Dex 8, Con 28, Int 3, Sag 21, Cha 23
  • BBA +20 ; BMO +45 (+47 bousculade, +49 lutte) ; DMD 54 (56 contre bousculade, croc-en-jambe impossible)
  • Dons Attaque en puissance, Coup fabuleux, Critique ralentissant, Don pour les critiques, Frappe décisive, Réflexes surhumains, Science de la bousculade, Science de l’initiative, Science du critique (coup), Science du critique (morsure)
  • Compétences Perception +28
  • Langues aklo (parle rarement)
    Écologie
  • Environnement sous terre
  • Organisation solitaire
  • Trésor aucun
    Pouvoirs spéciaux
  • Force écrasante (Ext). Le bhole applique toujours 1,5 fois son modificateur de Force à toutes les attaques effectuées avec des armes naturelles.
  • Immunité au contrôle magique (Ext). Le bhole est immunisé contre la majorité des formes de contrôle mental, y compris tous les sorts de charmes, la suggestion et les sorts de domination. De même, il est immunisé contre la possession et les autres tentatives de possession.
    La confusion et les effets qui ne permettent pas à une créature de contrôler directement le bhole fonctionnent normalement. Il existe quelques rares méthodes pour contrôler magiquement un bhole, notamment celle qui permet à une créature de manipuler une créature en reproduisant exactement les effets d’une confusion. D’autres méthodes peuvent aussi fonctionner, en particulier celles liées à d’étranges et puissants artefacts.
  • Souffle (Sur). Une fois par minute, le bhole peut expectorer une quantité prodigieuse d’épais mucus. Cette arme a une portée de 270 mètres et disperse le mucus dans une étendue de 12 mètres de diamètre autour de la zone ciblée. Les créatures qui se trouvent dans la zone doivent réussir un jet de Vigueur DD 29 ou être étourdies pendant 1d4 rounds. Le mucus transforme la zone qu’il affecte en terrain difficile. De plus, toutes les créatures qui s’y trouvent ou qui tentent d’y pénétrer doivent réussir un jet de Réflexes DD 29 ou se retrouver enchevêtrées. Le mucus persiste pendant 2d6 heures et les antres des bholes sont régulièrement tapissés de cette substance. Le bhole se déplace sans mal sur son mucus. Le DD du jet de sauvegarde est basé sur la Constitution.





Ce ver titanesque soulève son énorme masse dans les airs, une de ses extrémités dressée comme s’il allait frapper de son énorme mâchoire aux crocs acérés.

Sur certains mondes, on les appelle des dholes. Les bholes font partie des plus grandes créatures vivantes. Ce sont des léviathans aux allures de ver d’un tel gigantisme que peu de gens peuvent se vanter d’en avoir vu un en entier, de la tête à la queue, et ceux qui prétendent l’avoir fait sont atteints de démence ou d’une autre affliction faisant douter de la véracité de leurs dires. Ces créatures présentent un vaste éventail de couleurs, du violet au bleu sombre, du gris pâle au jaune en passant par le blanc. La gueule caverneuse de la bête se compose de longues mâchoires osseuses qui s’étirent et se déploient autour de la tête quand la créature se nourrit.

Les bholes bénéficient d’une incroyable longévité. Ceux qui vivent dans des mondes éloignés ou dans d’autres dimensions y résident depuis une éternité. Ils ne semblent pas s’intéresser à leur propre histoire, peut-être à cause de leur intellect limité, mais ils peuvent vivre éternellement, à moins de succomber à une mort violente.

Les bholes habitent toujours dans des étendues désolées car ils sont capables de manger et de digérer n’importe quoi. Au fil du temps, ils réduisent de vastes zones en un simple réseau d’immenses tunnels alvéolaires. Ces régions finissent par s’effondrer sur elles-mêmes et ne laissent que des puits remplis de décombres, d’une taille effrayante.